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Retour au travail : comment j’ai trouvé une babysitter

Je m’appelle Marie-Céline (mes copines m’appellent Maricé), jeune maman Parisienne de 33 ans. Je suis DRH dans le monde de la banque. C’est un poste à responsabilité et evidement, quitter mon bureau à 17h est inenvisageable. Devenir la maman de Kathya a été l’un des plus grands bouleversements de ma vie. Pendant ma grossesse, je m’étais préparée à tout : les nuits courtes, les biberons, les pleurs… mais ce que je n’avais pas anticipé, c’était le casse-tête de la garde après la crèche lorsque j’ai dû retourner travailler. Mais heureusement, j’ai trouvé une super solution, et je souhaite la partager avec vous.

L’angoisse de la sortie de crèche

Quelques mois après mon accouchement, le moment est venu de reprendre mon poste de DRH. Kathya était inscrite dans une super crèche, ce qui me rassurait.

Mais un problème est vite apparu : la crèche fermait à 18h30. Je sors du boulot entre 18h et 20h (voir plus) et j’ai 45 min de métro pour revenir de la Défense. Impossible pour moi d’aller la chercher à l’heure. Mon conjoint (qui ne m’a toujours pas demandé en mariage, j’en profite pour faire passer le message) travail en province la semaine et ne revient que les week-ends.

J’ai commencé à angoisser, me demandant comment j’allais réussir à concilier mon rôle de maman et mes responsabilités professionnelles.

J’ai d’abord pensée à différentes solutions : demander à mes beaux-parents de m’aider (mais je n’ai pas envie d’être redevable), voir si je pouvais aménager mes horaires de travail, envisager un congé parental prolongé… Mais aucune de ces options ne me convenait complètement. Mes parents habitaient trop loin, mon employeur ne pouvait pas toujours être flexible, et financièrement, il était difficile de prolonger mon congé. Seule solution, une babysitter.

La solution de la babysitter

Après plusieurs discussions avec d’autres mamans dans la même situation, j’ai compris qu’une babysitter est une bonne solution. Au début, j’avais quelques appréhensions : est-ce qu’une inconnue pourrait réellement prendre soin de mon bébé comme je le souhaitais ? Mais très vite, je me suis rendue compte des nombreux avantages :

Une flexibilité précieuse : J’ai trouvé une babysitter qui s’adaptait parfaitement à mes horaires et qui pouvait venir chercher mon enfant à la crèche sans problème.

Un retour à la maison en douceur : Après une journée bien remplie, mon bébé pouvait rentrer tranquillement à la maison plutôt que de subir le stress des trajets de dernière minute.

Un vrai soulagement pour moi : Fini le stress de la course contre la montre pour sortir du bureau à temps. Je pouvais finir ma journée sereinement, en sachant que mon enfant était entre de bonnes mains.

Un rituel du soir facilité : Ma babysitter ne se contentait pas de récupérer mon bébé, elle l’aidait aussi à prendre son bain, jouait avec lui et préparait parfois son repas.

Une relation de confiance : Avec le temps, ma babysitter est devenue une véritable alliée. Elle connaissait les habitudes de mon enfant, savait comment le réconforter et m’envoyait même des nouvelles en temps réel.

Comment j’ai trouvé la perle rare ?

Je ne vais pas mentir, trouver LA bonne personne n’a pas été facile. J’ai pris le temps de :

  • Demander des recommandations à des amies et collègues.
  • Consulter des plateformes spécialisées proposant des profils vérifiés.
  • Rencontrer plusieurs babysitters et faire un essai avec chacune avant de me décider.
  • Établir une communication fluide dès le début, pour être sûre que mes attentes étaient bien comprises.

J’ai également appris qu’il était important de poser les bonnes questions dès le départ :

  • Quelle est son expérience avec les jeunes enfants ?
  • Comment réagirait-elle en cas d’urgence ?
  • Quelles sont ses attentes en termes de rémunération et de planning ?

Finalement, c’est le site babysitting Nounouland qui m’a déniché la perle rare. Je tiens d’ailleurs à remercier l’équipe de la plateforme qui fait un super travail. Et particulièrement la conseillère Laura qui a fait un super boulot pour recruter Apolline, celle qui est devenu ma babysitter.

Apolline, une jeune femme merveilleuse. Elle est étudiante. Et devinez quoi ? C’est dans le secteur de la banque qu’elle s’est orientée. Le hasard fait vraiment bien les choses. Elle a 5 petits frères et sœurs, et garde des enfants depuis qu’elle a 16 ans.

Une fois ma babysitter choisie, j’ai organisé une période de transition en douceur. Elle est venue quelques jours avant le début officiel pour que mon enfant puisse s’habituer à elle, et j’ai aussi pris le temps de lui expliquer nos routines et nos petites habitudes.

Le quotidien avec une babysitter : une organisation à adopter

Avoir une babysitter pour la sortie de crèche a changé mon quotidien, mais cela a aussi nécessité une organisation bien rodée. Nous avons mis en place quelques règles qui ont facilité la transition :

Un cahier de suivi où elle notait les heures de repas, les activités faites avec mon enfant, et d’éventuels petits incidents.

Des consignes claires sur l’heure du bain, le repas et les temps calmes avant le coucher. Une communication régulière via messages pour me rassurer et me tenir informée.

Les avantages insoupçonnés d’une babysitter

En plus de m’aider à récupérer mon enfant, ma babysitter a apporté une valeur ajoutée à notre quotidien. Elle a initié Kathya à de nouvelles activités ludiques, chantait des chansons qu’il adorait, et lui apprenait même quelques mots en anglais. Petit à petit, elle est devenue bien plus qu’une simple garde d’enfant, elle faisait partie de notre équilibre familial.

Le coût d’une babysitter : un investissement nécessaire

Bien sûr, embaucher une babysitter représente un coût. Mais en regardant l’impact positif que cela a eu sur mon organisation et mon bien-être mental, je considère cela comme un investissement plutôt qu’une dépense.

Il existe d’ailleurs des aides financières, comme le Complément de libre choix du Mode de Garde (CMG), qui permettent d’alléger la charge financière pour les parents qui travaillent.

Au final, sur ce que me facture Nounouland, il ne reste pas grand-chose à ma charge. 85 % est financé par cette CMG (aide de la CAF), et le reste est déductible des impôts. Si vous comptez bien, il ne reste que 7,5% à ma charge, soit environ 2 € de l’heure.

Un équilibre retrouvé

Aujourd’hui, je ne regrette pas mon choix. Grâce à Apolline, je peux travailler sans culpabiliser et mon enfant est épanoui. Je peux même parfois rentrer un peu plus tard, prendre le temps de souffler après une journée de travail ou de m’arrêter à la salle de sport, sans avoir à me précipiter à la sortie de la crèche.

Si vous êtes dans cette situation, je vous encourage à explorer cette option. Une bonne babysitter peut vraiment transformer votre quotidien et vous offrir un équilibre précieux entre vie professionnelle et vie de famille. Prenez le temps de bien choisir la personne qui correspondra le mieux à vos attentes, et vous verrez, cela peut faire toute la différence !

Rédigé par

Pascaline

Bonjour, je m'appelle Pascaline, fondatrice de Petite Bohême Cie, un blog dédié à l’univers de la parentalité et de la petite enfance. Éducatrice spécialisée en parentalité et développement de l’enfant et maman passionnée, je partage des conseils pratiques, des avis sur les produits et des astuces bienveillantes pour accompagner les parents dans leur quotidien. Mon objectif est d’aider chaque famille à vivre des moments de douceur et d’épanouissement, tout en créant un environnement harmonieux pour leurs tout-petits.

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